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Métiers qui n’existent plus
Placeurs de quilles
Non, vous ne rêvez pas, il s’agit bien d’un métier. Aujourd’hui, les bowlings sont automatisés, mais fut un temps où il fallait le faire manuellement. Et hors de question que cette tâche soit effectuée par les clients! Il existait des planteurs de quille/requilleurs/placeurs de quille, chargés de repositionner les quilles. Un petit boulot souvent occupé par des adolescents.
Télégraphiste
IL y a trois ans, le dernier système de télégraphe au monde s’arrêtait, et avec lui, les derniers télégraphistes, qui étaient chargés de transmettre les télégrammes, ont pris leur retraite.
Caillouteur
Les caillouteurs étaient chargé de tailler les silex pour en faire des « pierres à fusil », c’est-à-dire des pierres de silex placées dans le chient pour produire la détonation. La profession s’est définitivement éteinte à la fin de la première guerre mondiale.
Réveilleur
Il s’agit d’un des petits métiers parisiens d’antan. Les réveilleurs et réveilleuses étaient chargés de réveiller leurs clients, avant la démocratisation du réveil mécanique. Cailloux, cris, bâtons, sifflets, tout était bon pour réveiller les dormeurs. En Grande Bretagne, on les appelait les knocker-upper.
Allumeur de réverbères
Les allumeurs de réverbères, ou falotiers, avaient pour mission d’éclairer les rues en allumant les lucarnes (huile ou gaz). L’arrivée de l’électricité a sonné la fin de cette profession, qui conserve malgré tout une présence lumineuse dans les pages du Petit prince de Saint-Exupéry.
Schlitteur forestier
Non, il ne s’agit pas d’une espèce de petit singe tropical, mais bien d’un métier. Le schlitteur forestier était un bûcheron, qui conduisait notamment une schlitte, sorte de grande luge servant à déplacer le bois abattu.
Mendiant
La palme des vieux métiers les plus étranges revient certainement aux bretons, qui ont su corporatiser la mendicité. Les mendiants bretons étaient reconnus en tant que tels, la « profession » était même respectée par la population et elle figurait sur l’acte civil.
Rhabilleur de meules
Ne vous fiez pas à l’intitulé, les rhabilleurs de meules n’étaient pas des puritains combattant l’impudeur. Il s’agissait en fait d’artisans très recherchés du temps où les moulins à vent fonctionnaient nuit et jour. Ils étaient chargés de retailler les meules de granit des moulins, afin de les rendre plus efficaces et surtout d’éviter les incendies dus au frottement.
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Commentaires
Bonjour
Déjà Bravo pour ces rappels des métiers qui n'existent plus
Ces METIERS D'ANTAN et d'AUTREFOIS
on ne retrouve plus
- de rempailleur
pour ne citer que celui-là pour exemple etc...
Merci pour votre passage et pour le commentaire
concernant TIKEN JAH FAKOLY
Je vous souhaite un très bon Mercredi en ce 09 Mars
A très bientôt, j'espère
En toute Amitié
Jean
coucou mon amie que j aime
j arrive je suis pas courageuse pour un lundi
hhhhhhj ai 0 degré ihhiihih et le soleil la journée ça va
gros bisous a vous 3
et bon lundi
dany
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Bonjour Marie
Je viens te souhaiter un bon Mercredi en ce 16 Mars
Merci pour l'appréciation et le commentaire sur le billet
LE SENS RECHERCHE DES MOTS DANS L'AFRIQUE PROFONDE
Je suis content que cela t'a plu
Amitié
Jean